Les éditions 2022 des grands raids nocturnes arrivent !
Dans notre département, deux évènements sont organisés par des clubs FFRandonnée : le Puy-Firminy dans la nuit du samedi 19 dimanche 20 novembre et Thiers-Roanne dans la nuit du samedi 3 au dimanche 4 décembre.
Pour les deux raids, on part à minuit, avec toute une nuit et une longue matinée de rando. Si vous êtes prêt à avaler les kilomètres et à braver la nuit et la météo d’hiver, les 2 grandes marches Le Puy-Firminy ou Thiers-Roanne sont faites pour vous !
Attention, il est indispensable d’être bien entraîné ! Vous pouvez aussi vous inscrire sur des distances un peu plus courtes, en suivant le même parcours que les marcheurs au long cours…
52ème édition du Puy-Firminy…
Ce raid nocturne, ouvert à la fois aux marcheurs et aux coureurs (classement pour les 15 premier arrivants), est organisé en novembre par le Centre Laïque Culturel et Sportif de Firminy : le CLCS.
Environ 500 courageux viennent y participer chaque année pour s’attaquer aux 69 km et aux 1500 m de dénivelé ! Parmi eux beaucoup d’habitués : ce raid est apprécié pour sa convivialité et sa taille humaine. En fin d’épreuve, tout le monde se retrouve dans les locaux du CLCS à Firminy, autour d’un bon repas chaud de saucisses lentilles…
Une distance plus courte (39 km) est proposée aux randonneurs, avec un départ intérmédiaire à 6 h du matin depuis le village de Beaux.
… et 97ème édition du Thiers-Roanne !
Ce raid nocturne est également ouvert aux marcheurs et aux coureurs. Il accueille environ 1000 participants chaque année. Il est organisé début décembre par le Groupe des Montagnards Roannais : le GMR. Petite caractéristique du Roanne-Thiers : une année sur deux, les villes de départ et d’arrivée sont inversées. Pour l’édition 2022, on part de Thiers samedi à minuit et on arrive, 57 km plus loin, à Roanne. Cette marche, qui existe depuis 1925, est la plus ancienne des marches de ville à ville !
Une distance plus courte (32 km) est proposée aux randonneurs, également au départ de Thiers à minuit avec une arrivée à Saint-Just-en-Chevalet.
Photo : GMR